(résumé de l'épisode : pour Solal, ce soir, c'est la fête du slip)
Week-end pas facile, on s'en doute.
Malgré toute, petite soirée sympatoche hier soir, anniversaire d'une collègue qui, comme moi, fait partie de l'équipe des "juniors" du conseil exécutif de FranceBoutique. J'hésitais à y aller, j'avais peur qu'il n'y ait que des normaliens (j'ai rien contre eux, hein, mais c'est pas trop mon monde, j'avais juste peur, avec mon QI de 15,3, de déparer un peu dans l'assistance...), mais elle m'a rassuré, il y aurait de tout. Ouf. Et elle a eu raison. De mon côté j'ai forcément joué au parfait petit hétéro-mais-open ("ah booooon, le Cap est une destination gay ? ahhh? san francisco aussi ?"), il y a avait un petit couple de mecs tout mignons, j'ai cru déceler qu'ils me passaient au gayscanner mais je n'ai pas eu leur verdict.
Aujourd'hui, j'ai été nounou. Trois nièces/neveux de 1 à 5 ans. On a beaucoup joué au docteur . Nnaaaaaan, bande de nazes, chuis pas un pervers. J'étais le malade : donc obligé d'être allongé sur le lit, donc petite sieste pendant que les gredines me chatouillaient au stéthoscope et me balançaient de grands coups de marteau sur les genoux. Bien sûr, les chipies n'ont été d'aucune indulgence quand je me suis occupé du petit dernier ("eh bien, on dirait que tu te débrouilles pas vraiment très bien avec les bébés toi!" "eh ben moi ma ptite, je t'emm..."). Tout se passe finalement bien, ma soeur, mon frère et leurs conjoints respectifs sont là pour un pré-goûter post déjeunatoire, et hop, retour à Paris.
Je seurfe sur les blogues pendant que les greluches de la coloc se matent un dividi. Et là, ta-dam, coup de fil de Bogoss, il est 23h00. A priori il en a encore pour une heure de boulot, il est dans le quartier, il sera sorti vers minuit, et il est partant pour un gros calin. Il m'a réservé aussi la soirée de demain. Et jeudi.
Ptain qu'est ce qu'il va me mettre. Plus qu'une demi-heure pour m'épiler le maillot...
Tutututut, tu espérais vraiment, cher Solal, que je partirais en vacances en laissant passer cette grossière provocation: "Les normaliens, j'ai rien contre eux, hein, mais c'est pas trop mon monde"?
C'est vrai ça, et en plus, ils ne se cachent même plus! j'ai comme l'impression qu'il y en a même qui tiennent un blog... Imagine que certains pourraient te lire! Et y prendre du plaisir, les pervers!! Bah, mais quelle horrrrrrreur, ils sont partout!!!
Surrender, young man, resistance is futile...
Rédigé par : M LeMaudit | 05 juillet 2004 à 00:32
sooooo ?
Rédigé par : wam | 05 juillet 2004 à 13:00